Liste des Sites ou Monuments ".$_GET['tags']; ?>


Ateliers Courrèges

Né à Pau et formé à l'École des Ponts-et-Chaussées, le couturier André Courrèges collabore durant la première partie de sa vie avec le père d'Éric Larribau. Il se tourne naturellement vers ce dernier, en 1970, lorsqu'il ambitionne d'installer des ateliers de fabrication route de Morlaàs.

Avenue du Stade-Nautique

Donnant sur les Pyrénées, l'avenue du Stade Nautique s'inscrit dans le prolongement du boulevard des Pyrénées. Telle qu'imaginée à la fin du XIXème siècle par l'ingénieur Alphand, cette promenade devait d’ailleurs s'étendre jusque là. La construction d'élégantes villas chamboulera le grand projet visionnaire...

Bains orientaux

La cour du n°15 rue d'Orléans intrigue par ses airs orientaux au cœur de la cité paloise. Cet ancien établissement de bains du XIXème siècle témoigne de la mise en œuvre d'une politique hygiéniste, à la croisée des chemins entre préoccupations de santé publique et soin du corps.

Banque de France

Le siège palois de la banque de France fait partie des derniers hôtels particuliers construits face aux Pyrénées, avant la création de l'actuel boulevard. Avant son acquisition par un richissime homme d'affaire américain, Franck Lawrance, l'imposante bâtisse appartenait au pasteur Schlumberger.

Castors

Le mouvement des Castors d' Aquitaine naît à Pessac en 1948. Dans un contexte de crise du logement, 150 volontaires font le choix d'une méthode originale  : l'autoconstruction collective pour accéder à la propriété de maisons individuelles. Cette initiative pionnière fera tâche d'huile et une loi sera promulguée, en 1952, pour officialiser la formule.

Château de Franqueville

Campé sur le haut d'un coteau, profitant d'une vue imprenable sur les Pyrénées, le château de Franqueville offre un bel exemple de maison seigneuriale transformée en demeure d'agrément au XIXème siècle. C'est aussi le point de départ du chemin Henri IV qui rejoint Lourdes.

Cité Administrative

Initialement dévolus à l'implantation d'un hôpital, les terrains du quartier Dufau-Tourasse accueillent un ensemble d'édifices qui témoignent d'un ambitieux projet d'aménagement porté par le Conseil général.

Cité Paul-Doumer

Engagé dans la lutte contre le logement insalubre, l'Office public d'habitations à bon marché de Pau lance, en 1932, l'ambitieux programme de la cité Paul-Doumer dont la réalisation est confiée à l'architecte palois Henri Maussier-Dandelot.

Domaine de Béterette

Au cœur de la Vallée Heureuse, se dresse le domaine de Béterette. En 1940, il est racheté par une institution publique et converti en centre de post-cure sanatoriale, avant d'être transformé en centre de reconversion professionnelle en 1969. Aujourd'hui, l'avenir de Béterette est en suspens.

Dufau-Tourasse

L'ensemble Dufau-Tourasse est le plus important plan de logements collectifs réalisé à Pau dans les années 1960. Il apporte alors une réponse à la crise du logement qui sévit partout en France et s'inscrit dans le cadre des anciennes ZUP (Zones à urbaniser en priorité).

Église Saint Andrews

Franchir le seuil de l'église Saint-Andrew's équivaut à traverser la Manche tout en remontant dans le temps. Le visiteur étonné est immédiatement plongé dans l'ambiance religieuse de l'Angleterre puritaine du XIXème siècle. Mobilier, vitraux, décors, tout rappelle ici les riches heures de Pau, ville cosmopolite et foisonnante.

Grand Hôtel

Inauguré en 1864, le Grand-Hôtel, premier palace palois, a reçu le gotha européen. Il est alors le cœur d'un nouveau quartier, dit «  des Anglais  », où les valétudinaires britanniques construisent pas moins de quatre temples protestants. Vieux navire abandonné, le Grand Hôtel retrouve aujourd'hui une seconde jeunesse.

Horizons Palois

«  La ville de Pau ouvre l'éventail d'azur des Pyrénées sur les coteaux du Gave aux villas fortunées  ». Cette citation de Francis Jammes, poète français au tournant du XXème siècle, résume bien l'essence même des Horizons Palois, qui font de Pau un balcon sur front de montagnes.

Hôtel Bayard

L'hôtel particulier, situé au 2 rue Henri IV, apparaît dès 1773 sur le plan de Claude Moisset ; il s'agit de l'hôtel particulier de Bayard, président du Parlement de Navarre. Depuis 1995, il abrite les l'Office de tourisme et le bureau des Congrès de Pau.

Hôtel Continental

Grand vaisseau hétéroclite qui n'échappe pas aux stéréotypes de l'architecture hôtelière du début du XXème siècle, le Continental répond, par ses impressionnantes proportions, à l'hôtel des Postes qui lui fait face.

Hôtel de Peyré dit « Hôtel Sully »

Cet hôtel particulier, situé juste en face de l'entrée principale du Château, est un parfait exemple d'architecture citadine d'aristocrates ou riches bourgeois du XVIIème siècle : son ostentatoire façade sur rue n'a d'égale que l'intimité du côté intérieur sur cour.

Hôtel du Département

Depuis 2001, l'hôtel du Département des Pyrénées-Atlantiques prend place au pied du quartier historique de Pau, en contre-bas de l'hôtel Gassion. Ses deux ailes de verre et de métal assurent la transition entre la ville basse et l'imposant promontoire choisi par Gaston Fébus pour implanter sa forteresse.

Immeuble Candilis

Érigé entre le boulevard des Pyrénées et l'avenue Léon-Say, l'immeuble d'habitation que signe Georges Candilis, en 1966, pour le compte de l'Office privé de logement familial perpétue, avec ses soixante-quinze appartements de luxe, la tradition du faste architectural née de la villégiature, aux abords du Palais d'hiver.

Palais de Justice

Installée trop à l'étroit dans le vétuste couvent des Cordeliers, la magistrature paloise demande de nouveaux locaux, spacieux et modernes. En 1850, l'architecte du département, Vincent Latapie, lui érige un Temple  !

Parlement de Navarre

Récemment restauré, le Parlement de Navarre surplombe le nouvel Hôtel du département. Face aux Pyrénées, il incarne la dimension de Pau capitale politique. Son installation dans la cité d'Henri IV, décidée par Louis XIII, résonne comme l'hommage d'un fils à son père...

Pavillon Cécil

La majorité des maisons bourgeoises construites autour de 1900 ne se démarquent guère d'un éclectisme de bon ton qui s'était profondément ancré dans les habitudes paloises. Pau n'est pas une ville Art nouveau, et seuls quelques éléments décoratifs épars, dont le pavillon Cécil, dérogent à la règle.

Préfecture

Située en retrait de la rue du Maréchal-Joffre, la Préfecture offre une façade discrète mais néanmoins empreinte de solennité. Elle recèle un intérieur bien plus flamboyant, au décor emblématique du courant Art déco, qui s'ouvre aux curieux à l'occasion de visites guidées lors des Journées Européennes du Patrimoine.

Villa Cadaval

L'hôtel de Cadaval est édifié par Jean Dartigaux, président du Tribunal de Pau, éleveur de chevaux de courses et un des pères fondateurs de l'hippodrome de Pau. Elle connut ses plus belles heures de 1830 à 1860 quand son propriétaire épousa Caroline de Saint-Cricq. C'est aujourd'hui le siège de la Caisse des Allocations Familiales.

Villa Hutton

Construite pour Richard Lalor Power, ancien maître d'équipage du Pau Hunt, la villa Bilhère, également connue sous le nom de villa Power ou villa Hutton, est restée dans la même famille pendant 92 ans, de 1857 à 1949. Grâce à son nouveau propriétaire, elle retrouve son lustre d'antan.

Villa Nitot

À Pau, les villas doivent être «  anglaises  », un cliché devenu par trop envahissant. La villa Nitot, offre l'occasion d'aller au-delà des idées reçues, au risque d'ébranler quelques certitudes. Elle donne toutes les clefs pour comprendre une architecture ô combien savante et tout sauf univoque.

Villa Ridgway

Dès le XIXème siècle, de nombreuses villas sont construites à Pau sous l'impulsion de l'importante communauté anglo-saxonne qui y séjourne durant l'hiver. La villa Ridgway figure parmi les plus intéressantes réalisations de cette époque. Elle abrite aujourd'hui des services municipaux.

« Immeuble aux colonnes » Challe

Bénéficiant d'une implantation bien en vue sur le boulevard des Pyrénées, cet immeuble appelé par les Palois « Maison blanche » ou « immeuble aux colonnes », est imaginé par Henry Challe. Il affiche une grande modernité, caractéristique de l'époque Art déco à Pau.